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De l'autre côté de la frontière (Histoires suisses 2015, par Fabian Stamm) - Swiss Press Award

Le camp de réfugiés relativement petit de Midyat a été construit à l’origine pour accueillir 7 000 personnes.
Le camp de réfugiés relativement petit de Midyat a été construit à l’origine pour accueillir 7 000 personnes.
Photo / Histoires suisses
2015

De l'autre côté de la frontière

Fabian Stamm

Pendant dix jours en mars, j'ai enquêté sur les effets du conflit syrien sur trois villes frontalières (Akcakale, Ceylanpinar et Nusaybin) dans un reportage photo. D'une part, il se concentre sur les réfugiés qui, de diverses manières, se retrouvent bloqués dans ce sanctuaire qu'est la Turquie et s'y installent pour une durée indéterminée. D'autre part, les images dépeignent le conflit d'un point de vue turc : la barrière frontalière omniprésente qui sépare chacune de ces villes de la Syrie et influence également leur architecture. L'instabilité causée par les extrémistes qui utilisent ces villes comme refuges, qu'il s'agisse des YPG kurdes ou de Daech, limite la visibilité des autorités officielles sur les personnes qui franchissent illégalement leur frontière.

Reportagen 2014 - Reporter ohne Grenzen

Photo / Histoires suisses
2015

Fabian Stamm

Pendant dix jours en mars, j'ai enquêté sur les effets du conflit syrien sur trois villes frontalières (Akcakale, Ceylanpinar et Nusaybin) dans un reportage photo. D'une part, il se concentre sur les réfugiés qui, de diverses manières, se retrouvent bloqués dans ce sanctuaire qu'est la Turquie et s'y installent pour une durée indéterminée. D'autre part, les images dépeignent le conflit d'un point de vue turc : la barrière frontalière omniprésente qui sépare chacune de ces villes de la Syrie et influence également leur architecture. L'instabilité causée par les extrémistes qui utilisent ces villes comme refuges, qu'il s'agisse des YPG kurdes ou de Daech, limite la visibilité des autorités officielles sur les personnes qui franchissent illégalement leur frontière.

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