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Un complexe hôtelier tropical pour personnes atteintes de démence confronté à des vents contraires (Vie Quotidienne 2016, par Stéphanie Borcard Nicolas Métraux) - Swiss Press Award

Paul, 85 ans, et Sassinee, 58 ans, se rendent au restaurant Rössli. Paul est en Thaïlande depuis deux mois. Infatigable globe-trotteur, il est venu pour la première fois dans les années 1960 et a visité 65 pays. Doi Saket, Chiang Mai, Thaïlande, mai 2015.
Paul, 85 ans, et Sassinee, 58 ans, se rendent au restaurant Rössli. Paul est en Thaïlande depuis deux mois. Infatigable globe-trotteur, il est venu pour la première fois dans les années 1960 et a visité 65 pays. Doi Saket, Chiang Mai, Thaïlande, mai 2015.
Photo / Vie Quotidienne
2016

Un complexe hôtelier tropical pour personnes atteintes de démence confronté à des vents contraires

Stéphanie Borcard Nicolas Métraux

La maison de retraite de luxe Vivobene, gérée par des Suisses en Thaïlande, est pratiquement vide. Prendre soin des patients atteints de démence coûte cher en Suisse. Ce serait moins cher en Thaïlande, y compris dans les établissements de luxe. Mais la demande de patients de longue durée est minime. Le projet suisse Vivobene est en ruine. Actuellement, la maison de retraite ne compte qu'un seul patient.

NZZ

Photo / Vie Quotidienne
2016

Stéphanie Borcard Nicolas Métraux

La maison de retraite de luxe Vivobene, gérée par des Suisses en Thaïlande, est pratiquement vide. Prendre soin des patients atteints de démence coûte cher en Suisse. Ce serait moins cher en Thaïlande, y compris dans les établissements de luxe. Mais la demande de patients de longue durée est minime. Le projet suisse Vivobene est en ruine. Actuellement, la maison de retraite ne compte qu'un seul patient.

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